N'est-ce pas un tantinet excessif ? :shock:
Si non, quel(s) remède(s), solution(s) ?
Si non, quel(s) remède(s), solution(s) ?
Au contraire, je ne trouve pas cela excessif. J'ai moi-même souvent l'impression d'être apathique, malgré moi!Kvothe a écrit:N'est-ce pas un tantinet excessif ? :shock:
Si non, quel(s) remède(s), solution(s) ?
Ces adjectifs seraient alors en contradiction avec la définition de l’apathie.@Silentio a écrit:Est-ce que ça s'appliquerait à quelqu'un qui ne réussirait pas à agir, à concrétiser sa volonté par des actes concrets, alors même qu'il serait hypersensible et ultra désirant [..]
Parfaitement d’accord avec vous, bien que cela me pose de sérieux problèmes du côté de mon penchant Sartrien. Je considère en effet que si l’on peut, alors on peut vouloir et cela ne va pas au-delà. Mais vouloir simplement, c’est-à-dire sans considérer ses possibles, n’a justement rien à voir avec le pouvoir. L’adage qui dit que vouloir c’est pouvoir me semble trop enraciné dans une morale judéo-chrétienne.@Silentio a écrit:
Je crois qu'il ne suffit pas de désirer ou de vouloir pour faire.
Ce n’est justement pour moi qu'un désir d’être et non pas une visée d’un objectif particulier, dans le sens où je ne désigne comme objectif que ce qui est mondain. Or, le désir d’être va pour moi au-delà.@Silentio a écrit:
Puis-je être moi-même un obstacle à la volonté ? Quelles pourraient être les causes (externes et internes) d'un tel empêchement dans l'affirmation de soi ?